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congo-story

Description :

[c=#111111]LA CONGOLAISE


En ce jour le soleil se lève
Et notre Congo resplendit
Une longue nuit s'achève,
Un grand bonheur a surgi.
Chantons tous avec ivresse
Le chant de la liberté.

Refrain

Congolais, debout
Fièrement, partout
Proclamons l'union
de notre nation.
Oublions ce qui nous divise,
Soyons plus unis que jamais.
Vivons pour notre devise :
Unité, Travail, Progrès.
Des forêts jusqu'à la savane,
Des savanes jusqu'à la mer,
Un seul peuple, une seule âme,
Un seul coeur ardent et fier,
Luttons tous, tant que nous sommes
Pour notre vieux continent noir.

Refrain

Et s'il nous faut mourir, en somme
Qu'importe puisque nos enfants
Partout, pourront dire comme
On triomphe en combattant
Et dans le moindre village
Chantent sous nos trois couleurs.

Refrain [/c]

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Sassou sur un volcan

Au Congo-Brazzaville, anticipant une modification de la Constitution de 2002, Sassou, le PCT et les épigones du « chemin d'avenir  » ont mis sur pied une commission chargée de réfléchir sur l'évolution de la loi organique. « On ne sort de l'ambiguïté qu'à ses dépens ». Cette affirmation du cardinal de Retz ne s'est jamais aussi bien appliquée qu'au magnifique pataquès et emballement médiatique sur les velléités de la modification de la Constitution au Congo-Brazzaville.
Danse avec la Constitution
En l'espace de quelques semaines, ce qui n'était que élucubration, hallucination et vue de l'esprit de quelques grognards, frustrés et grognons de l'opposition radicale est devenu la thématique centrale du débat politique au Congo-Brazzaville. Lancée à grand sons de trompe sur les medias d'Etat, la contre-offensive des épigones du « chemin d'avenir » demeure dans les limbes. La petite musique subliminale de l'évitement, du flou et de l'ambiguïté savamment orchestrée par Aimé Emmanuel Yoka, Laurent Tengo et Benjamin Boumakani et entretenue habilement par les épigones du « chemin d'avenir » a perdu de sa superbe à l'approche des échéances de 2016. Gérant un situation fort ambiguë, l'oyocratie chemine vers 2016 à ses risques et périls. Dorénavant, les langues se sont déliées. Et, désormais, sans gêne ni pudeur, chacun y va de son petit mot plein d'ambiguité, qui n'est qu'en réalité un écran de fumée pour masquer la volonté de Denis Sassou Nguesso de conserver coûte que coûte le pouvoir au-delà de 2016.
Coup de sonde
Comme la matière s'avère hautement inflammable, Sassou, le PCT et les épigones du « chemin d'avenir » envoient des ballons d'essai dans l'opinion. Histoire de tâter le pouls de la population. Ceux-là même qui accusaient l'opposition radicale de mensonge et de parjure ont avalé leurs langues et se sont emparés du sujet en moulinant les épithètes. Et chaque agent du chemin « sans avenir » d'y aller de a petite ambiguïté. Par exemple, le thème de la modification de la Constitution n'est pas tabou pour Pierre Ngolo, marionnette entre les mains de Sassou, secrétaire général du PCT. Quant à Isidore Mvouba l'obstacle de 2016 n'est pas infranchissable à ses yeux. Ce petit marquis lari, parlant mbochi et intrépide homme d'affaires au teint jaune papaye passe pour un modèle achevé d'ambiguïté. Pour le porte-parole du gouvernement, Bienvenu Okiémi, personnage aux deux actes d'Etat civil, a lâché dans une ambivalence de sentiments les propos ci-après : « Le débat sur la constitution ne doit pas être un tabou. Plutôt que de voir en la constitution un texte figé, il convient de voir un texte dynamique, adaptable à l'évolution de la société congolaise. Il n'est donc pas interdit de vouloir faire le bilan de notre expérience constitutionnelle  ».
La situation économique et sociale du Congo-Brazzaville est trop grave, le climat politique trop délétère, l'urgence à agir contre le chômage trop grande pour que les leaders de la majorité présidentielle se défaussent de leurs responsabilités. Serait-on surpris si la bombe sociale explose aux dépens justement de ces « épigones » ? Denis Sassou Nguesso se croit sur un nuage alors qu'il est sur un volcan dont le magma est en ébullition. Le nuage est celui du sourire des courtisans du « chemin d'avenir », qui manient à merveille la brosse à reluire. La chaîne volcanique correspond à la réalité du Congo-Brazzaville : une situation économique et sociale désespérée sentant le souffre à mille lieues (30 % des jeunes au chômage, 100 000 pensionnaires sur une population de plus de 4 millions d'habitants), une fracture sociale majeure (70 ¨% de la population vivant avec moins de 2 dollars par jour) et un discrédit politique achevé. Fidèle à la stratégie des gens médiocres, voilà nos larbins du Chemin d'avenir en train de chercher les boucs-émissaires au milieu des Congolais de la RDC qu'ils accusent de tous les maux alors que la vraie délinquance est l'½uvre du clan d'Oyo qui a capturé et capté toute la richesse nationale.
Peine perdue pour Sassou, le PCT et les épigones du « chemin d'avenir ». Les populations ne sont pas dupes alors que les ingrédients d'une éruption géolopolitique sont réunies. A l'issue de ses deux mandats en 2016, Denis Sassou Nguesso devra partir avant que l'Etna social n'emporte tout sur son passage ; une violence explosive qui ferait passer les dates fatidiques du 5 juin 1997 et du 4 mars 2012 pour des pétards mouillés.
Que faire pour éviter un Vésuve politique à l'orée du tripatouillage constitutionnel annoncé ? La meilleure hypothèse la voici : un autre congolais, élu démocratiquement, doit présider aux destinées du Congo-Brazzaville. L'alternance que les populations du Congo-Brazzaville appellent de leurs v½ux est le sel de la démocratie. Au Congo-Brazzaville, l'alternance c'est en 2016 ou alors c'est le Pinatubo institutionnel ( du nom du redoutable cracheur de fumée aux Philippines)Sassou sur un volcan
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#Posté le samedi 03 mai 2014 10:13

Des gens de Kinshasa chassés

Des gens de Kinshasa chassés Non seulement Brazzaville et Kinshasa sont, dans le monde, les deux capitales politiques géographiquement les plus proches l'une de l'autre, mais encore elles partagent les mêmes cultures linguistiques, musicales, etc. Leurs artistes magnifient le fait que ce sont les mêmes peuples sur les deux rives du fleuve Congo, considéré non pas comme une frontière, mais comme un grand boulevard fluvial qui permet la communication.
Seulement, les exigences de sécurité entre les deux Etats voisins, la République du Congo (4 millions d'habitants) et la République Démocratique du Congo (77,5 millions d'habitants), pèsent énormément dans leurs relations de voisinage, comme on peut le voir, aujourd'hui, dans la lutte contre le grand banditisme que constitue le phénomène social Kuluna.
Tout a commencé à Kinshasa. La police nationale congolaise de la RDC avait lancé, à partir du mois de novembre 2013, une opération dénommée «Likofi», pour éradiquer le banditisme armé relatif au phénomène Kuluna. Les Kuluna sont des groupes d'adolescents et de jeunes kinois oisifs et dévergondés, armés d'armes blanches, agressant les paisibles citoyens dans les marchés et les rues, de nuit comme de jour, pour leur ravir leurs biens (téléphones portables, portefeuilles, etc).
Grâce à l'opération «Likofi», la ville de Kinshasa a été nettoyée de ces jeunes délinquants, à l'origine de nombreux meurtres, agressions physiques et vols à main armée. A la fin de cette opération qui avait duré trois mois, la population kinoise avait poussé un ouf de soulagement, car dorénavant, on peut circuler librement dans cette grande ville, sans plus craindre d'être agressé. Plus de 900 kulunas étaient arrêtés, tandis que des milliers d'autres avaient fui, pour trouver refuge dans les provinces voisines de Bandundu et du Bas-Congo. «Likofi» avait suscité, d'ailleurs, une grande polémique, à Kinshasa, en raison des méthodes expéditives utilisées, semble-t-il, par la police, accusée d'avoir, parfois, fait passer par les armes certains jeunes arrêtés. L'Unicef s'en était vivement inquiété. La police avait démenti, reconnaissant quelques bavures dans le déroulement de l'opération.
Pourchassés à Kinshasa, certains kulunas avaient traversé le fleuve Congo, pour trouver refuge dans les quartiers périphériques de la partie Nord de Brazzaville, où ils avaient repris leurs activités criminelles. C'est ainsi que dans les quartiers périphériques des arrondissements 6 Talangaï et 9 Djiri, l'insécurité et les vols étaient devenus un phénomène qui commençait à prendre de l'ampleur. Une certaine terreur régnait dans ces quartiers et les femmes redoutaient de se retrouver dans la rue après 18h. En mars dernier, deux meurtres à Talangaï, dont le viol et l'assassinat d'une jeune dame, ont suscité l'émoi et la colère de la population qui réclamait alors une action vigoureuse de la police. Parmi les sept présumés criminels arrêtés, il y a des jeunes ressortissants de la RDC. Ce qui amènera la police à lancer une opération coup de poing, baptisée «Mbata ya bakolo». Malheureusement, le début de l'opération est entaché de bavures, à cause du mauvais comportement de certains policiers impliqués. Les ressortissants de la RDC, en situation irrégulière à Brazzaville, qui sont rapatriés chez eux, livrent des témoignages alarmants, une fois arrivés à Kinshasa, parlant même de tueries. Les médias s'en emparent et jettent de l'huile sur le feu. Le gouvernement de la RDC dépêche à Brazzaville une délégation conduite par son vice-ministre des affaires étrangères, Célestin Tunda wa Kasende. Les négociations avec le gouvernement de Brazzaville, notamment le ministre de l'intérieur et de la décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou, aboutissent à la mise en place d'une commission mixte, chargée de suivre l'exécution de l'opération Mbata ya bakolo, afin de prévenir les dérapages et garantir les droits des personnes rapatriées. La police congolaise met de l'ordre dans ses rangs, en punissant les policiers auteurs d'actes délictuels au cours de l'opération, et dément les exactions contre les ressortissants de la RDC.
Malgré cela, lors de la plénière du mercredi 10 avril 2014 de l'assemblée nationale à Kinshasa, certains députés de la RDC font montre d'un extrémisme injustifié, demandant même la réplique à Kinsahsa, en chassant les ressortissants du Congo-Brazzaville. Ainsi, depuis quelques jours, les Congolais du Congo-Brazzaville sont pris à partie. Plus de 600 étudiants, pourtant en règle, sont pourchassés et trouvent refuge à l'ambassade de leur pays, sans qu'une prise en charge réelle ne leur soit garantie. Certains ont déjà réussi à traverser le fleuve, pour rentrer à Brazzaville et la plus grande partie a pu le faire, samedi 26 avril. Il leur est, maintenant, exigé d'avoir un passeport et un visa d'études et se faire établir une carte de séjour, pour étudier en RDC.
Autant dire qu'à Kinshasa et à Brazzaville, on a voulu lutter contre le phénomène de grand banditisme appelé Kuluna, on se retrouve avec des incidents diplomatiques entre les deux capitales, condamnées, pourtant, à vivre en bon voisinage, comme le chantent les artistes-musiciens des deux rives. Mais, il y a lieu de reconnaître que les bavures policières, l'extrémisme de certains députés et de certains médias de la RDC ont contribué à jeter de l'huile sur le feu, dans un climat où l'on a oublié l'essentiel: la lutte contre le grand banditisme lié au phénomène Kuluna qui, semble-t-il, reprend à Kinshasa, quelques mois après l'opération «Likofi».
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#Posté le samedi 03 mai 2014 10:10

Lolo Mutima : « King Kester Emeneya m'a demandé de ne pas le laisser tomber, de l'accompagner dans sa dernière demeure, de ne pas négliger ses enfants et sa femme »

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Producteur et proche de King Kester, Lolo Mutima qui explique que cet artiste lui a demandé de le soutenir jusqu'à son dernier souffle et même après, d'avoir un regard sur les membres de sa famille ainsi que la veuve a respecté son engagement.
Lolo Mutima explique qu'il n'a été ni de près ou de loin impliqué dans l'établissement de la liste des personnes ayant accompagné la dépouille mortelle de l'artiste Emeneya à Kinshasa. L'artiste musicien King Kester Emeneya est mort le 13 février dernier à Paris en France et inhumé le 2 mars à Kinshasa. Paix à son âme.

A ses côtés ces 15 dernières années, il était présent ou parmi les plus présents parmi ses intimes. Comme la Sainte Vierge Marie ou encore Saint Jean pour Jésus à Golgotha, il était là, témoin jusqu'aux derniers instants de la vie du patron de Victoria Eleison.

Il, c'est Lolo Mutima. Il réside à Paris en France, à la tête de son entreprise « Pactol production Office ». King Kester lui a d'ailleurs légué une mission, de produire « This is me », son dernier album.

En avant gôut, puisqu'il promet d'éventrer le boa au temps opportun, de parler davantage quarantes jours après la mort de NKua Mambu, il dément certaines rumeurs qui circulent au sujet de la mort d'Emeneya ainsi que de l'organisatiion de ses funérailles aussi bien à Paris qu'à Kinshasa.

Multi média Congo : Vous venez d'assister à Kinshasa, aux obsèques de King Kester Emeneya.  Je rappelle que c'est depuis vendredi dernier que vous avez regagné la France où vous résidez. Qu'est- ce que ce musicien représentait pour vous ?
Lolo Mutima : King Kester était l'un des meilleurs artistes de la RDC, il disait lui-même être le meilleur de tous. C'est lui qui a immortalisé mon nom, et c'est lui qui a fait de moi un Producteur. J'ai donc beaucoup appris auprès de lui. Aujourd'hui je peux diriger et arranger artistiquement les travaux en studio d'enregistrement, grâce à ce que j'ai appris à travers lui.


C'est en quelle qualité que vous avez fait partie de la délégation qui a accompagné sa dépouille mortelle à Kinshasa. C'est en tant qu'ami, frère ... ?
Ma présence et celle de Guy Kimvula étaient exigées par la commission d'organisation dirigée par le Gouverneur de la Ville de Kinshasa. Car nous sommes ceux qui ont vu le King partir à petit feu. Nous avions donc ces derniers messages et ces derniers désirs.

Quand vous êtes ami de quelqu'un, vous n'avez pas besoin de le prétendre, ni de le dire. Ça se voit par les actes. Le monde le voit. Ses enfants (les enfants de Emeneya)  le savent et vous remercient en public sans être influencés.

Je n'ai jamais prétendu être le meilleur ami de Kester, mais une chose et sûre, que ce dernier me portait énormément dans son c½ur depuis 1996 que j'étais à ces côtés. Parce qu'il savait que j'étais celui qui n'attendait rien de sa part. A l''inverse il pouvait compter sur moi. Il m'appelait « Nkunzi » ou « MokonzI ». Jamais Lolo. Il y avait le respect mutuel. Un amour fraternel nous unissait depuis des années.

J'étais touché le jour qu'il a dit à Beyou Ciel, « Yebisa Lolo que nalingaka ye mingi, tango mosusu ayebaka te ».(Dites à Lolo que l'aime, peut-être qu'il ne le réaliset pas) Le King m'a demandé de ne pas le laisser tomber. Et de l'accompagner dans sa dernière demeure, de ne pas négliger ses enfants et sa femme. J'ai tout simplement honoré un engagement pris. Pour moi, c'est mission accomplie.

Il semble qu'à Paris beaucoup de gens sont mécontents de n'avoir pas fait partie de cette délégation  simplement parce qu'ils n'ont pas eu des billets d'avion pour accompagner Le King Kester. Ils s'en prennent à vous. Est- ce que c'est vous qui avez établi la liste ?
Croyez-moi, je n'avais pas besoin du billet d'avion du Gouvernement congolais pour partir à Kinshasa.  Mais, ma présence  et celle de Guy Kimvula ont été exigées par Kinshasa. J'ai fait ma réservation sans tenir compte du programme établi par la commission de Kinshasa. Cette commission a retenu 18 noms sur la liste de 31 noms qui leur était proposée.

Et c'est en tenant compte des liens avec le King et surtout de l'importance de la présence à Kinshasa de chacun des membres de la délégation.



Plusieurs personnes sont parties avec leurs propres moyens, en considérant leur attachement au King. Les amis personnels du King pouvaient aussi le faire sans attendre d'être pris en charge. Que dire alors ! Manque d'argent ? Manque de volonté, Manque de vraia amour pour le King? Sont-ils de vrais Victoriens ?

J'ai l'esprit libre, car je n'ai rien à me reprocher. Bato nionso oyo bazoluka ngai mabe, to bazoloba mabe na kombo na ngai, bakozua zero.(Tous ceux qui racontent des mensonges sur moi doivent s'attendre à un échec )

Attendons la fin de tout ceci. Après, je pense tout déballer.

 Lolo Mutima, vous êtes producteur des spectacles ou des artistes musiciens. Quelle a été votre contribution à la carrière de King Kester Emeneya ?

Je viens de vous dire que c'est King Kester Emeneya  qui a voulu que je devienne Producteur parce que j'avais les moyens de le faire. J'ai donc commencé par manager son groupe depuis l'année 2000 au départ de notre frère Mambo de Panama. Ensuite, je devais aussi produire toutes les ½uvres discographiques et audiovisuels de Kester . Je suis celui qui détient sa bibliothèque audiovisuelle.

Grâce à la rigueur financière que j'avais instauré, Le King a pu acheter la parcelle où est  érigée « La Maison blanche. Lors de la venue de Victoria Eleison en 2001 pour le spectacle du Zénith, j'ai fais en sorte de faire tourner le groupe dans toute l'Europe.


L'administration du groupe Victoria Eleison a toujours élu domicile dans mes bureaux à Paris où King Kester Emeneya  passait ses journées. Je suis donc le Président de Victoria Eleison connu à ce jour.

Et si cela ne vous derangerait pas. En tant que proche de l'artiste, votre apport du vivant de l'artiste, notamment sa longue période de maladie ?
Avec Guy Kimvula, nous sommes les seules personnes ayant les dernières volontés du King Kester Emeneya. Nous avons jeuné des jours et des jours du matin au soir, en compagnie de Florence son épouse, et nous arrêtions nos jeunes de prières tous les soirs à l'hôpital.


King Kester Emeneya a fait 77 jours dans son lit d'hôpital.  A part nous trois, sans oublier les enfants du King, Jos Lema, et parfois Tonino Fernando, personne d'autre n'a mis les pieds plus de 5 fois dans cet hôpital.

Même lors de sa première hospitalisation en 2009, nous avons assisté Le King quotidiennement par nos jeunes des prières du premier au dernier jour. Il n'a cessé de le dire dans les media. en guise de remerciement.  Il est toujours resté reconnaissant rien que pour ça.

« Un vrai ami aime en tous temps, et dans le malheur, il se montre un frere».
Avec lui nous disions : « Tant que tu seras heureux, tu compteras nombre d'amis, et quand le temps deviendra nuageux, tu seras sera seul ».

Mais quel est le souvenir que Lolo Mutima garde de King Kester Emeneya ?
En 18 ans d'amitié, et de collaboration, les souvenirs sont nombreux.
Mais celui que je garde le plus : Un jour en Allemagne en 2001 où nous sommes allés pour un concert de Victoria Eleison, je suis entré dans la chambre d'hôtel du King sans frapper.

Je l'ai surpris à genoux, en train de prier Dieu avant le concert. C'était un étonnement pour moi. Il m'a dit, Nkunzi,  il ne faut pas se fier aux idées reçues selon lesquelles tous les musiciens  font des fétiches. « Nionso ya Victoria, na maboko ya Nzambe »(Tout ce qui est Victoiria est entre les mains de Dieu »...

Lolo Mutima a assisté à Kinshasa aux funérailles de King Kester Emeneya. Quelles sont ses impressions par rapport à l'organisation de ces funérailles ?
Bravo aux autorités de la RDC. Bravo au Gouverneur de la Ville de Kinshasa, Monsieur André Kimbuta, et coup de chapeau à toutes les personnes qui ont organisé ces funérailles. Je pense à Claude Maluma, Didi Kinwani, Godard Motemona et Bienvenu Kamba. Tous mes sincères remerciements à ces personnes pour leur implication.

Pourtant beaucoup d'artistes musiciens se disent mécontents puisque selon eux, ils ont été écartés de l'organisation des funérailles de leur collègue. D'aucuns parmi eux déplorent même le fait qu'ils aient été malmenés par les forces de l'ordre qui les ont traité comme de vulgaires personnes. Qu'en pensez-vous. Quel est le message que leur adressez-vous ?
Je suis sincèrement désolé pour la bousculade. Personne ne pouvait intimer l'ordre aux policiers pour l'opérer. Mais par contre, j'ai assisté à deux réunions auxquelles les musiciens étaient associés.


Ils avaient la charge de s'occuper des instruments et toute l'organisation en ce qui concerne les groupes musicaux qui devaient prester pour la circonstance. Mais il semble que la gestion financière ne pouvait leur être accordée car dans d'autres cas similaires, l'argent a été mal géré.


Que les Artistes sachent qu'il n'y avait aucune récupération politique. Les autorités ont simplement voulu rendre un hommage mérité à leur collègue qui le mérite d'ailleurs, car il était un grand, qui a beaucoup apporté à notre musique.

Et puis on parle de ces incidents qui ont eu lieu à Paris avant l'arrivée du corps d'Emeneya à Kinshasa. De quoi s'est--il agi au juste. Nos lecteurs veulent savoir. Qui était à la base de ces troubles s'il y en a eu. Est-ce sont les épouses du défunt ou les mélomanes. Voulez-vous un peu éclairer leur lanterne. S'il s'agit des ex-épouses, qu'est- ce qu'elles voulaient voilà Lolo Mutima ?
Ce ne sont pas les ex-épouses qui ont voulu ces incidents. Elles n'en avaient pas le pouvoir. Les mélomanes non plus. L'une d'elles était simplement manipulée. Quand elle a compris, et la pression des enfants aidant, elle a changé d'avis.

Mais je ne veux pas entrer dans la polémique en citant des noms. Cela ne sert plus à rien. Mais la vérité est têtue, elle finit par triompher.


Et en ce qui concerne ces ex-épouses. Il semble que le testament d'Emeneya ne leur accorde aucune faveur. En tant que proche de l'artiste que leur conseillerez- vous ?
Quant au testament, je ne sais pas si les ex-épouses peuvent prétendre à un quelconque héritage. Mais, Je pense que si leurs enfants sont héritiers, elles sont par richochet, elles-mêmes héritières.

Il semblerait aussi que les mélomanes et autres admirateurs ou curieux ont été empêchés de rendre à King les hommages dignes et que le corps leur a même échappé. C'est vrai qu'ils n'ont pas pu voir le cercueil d'Emeneya ?
C'est dommage, il y avait en l'église de la Madeleine à Paris  entre 6000 et 7000 personnes venues de toute l'Europe pour rendre un dernier hommage au King, mais elles n'ont pu voir le cercueil à cause d'un groupe. Les raisons claires de son agissement n'ont jamais été élucidées par lui-même.

Si Le King Kester pouvait se ressusciter même pour 30 secondes ce jour là, il allait gifler certaines personnes, et surtout il allait comprendre : « Kosana kokufa po oyeba ba oyo balingaka yo » (Fais semblant de mourir et tu sauras qui t'aime et qui ne t'aime pas). Mais, lui King, était très aimé.

Revenons-en un peu à votre statut de producteur. C'est à ce titre que vous avez aussi pris en charge « Amour fou lova », album de Beyou Ciel, on y reviendra- l'une de vos dernières productions, sorti il y a voilà deux ans. Qu'en est –il au juste de cette ½uvre, puisqu'à Kinshasa en tout cas on n'en parle plus après tous les bruits que vous avez faits autour de ce fleuron artistique. On dirait que vous vous êtes découragé, vous êtes déçu ?

Beyou Ciel et l'album « Amour Fou Lova » se portent bien.

Les albums chrétiens s'écoutent souvent à la maison, ils sont différents de la musique du monde qu'on entend à longueur des journées dans les boites, les bars et dans les fêtes. Et en RDC, la durée de succès d'un album est souvent limitée à deux ans. Après il faut penser à un autre.


Car les albums sortent en plusieurs dizaines chaque année, et les Artistes sont nombreux dans notre pays. Chacun doit être entendu. Je ne suis pas déçu. Sinon, je n'aurai pas fait un autre.

Au contraire l'album a été très bien vendu, malgré la malveillance du Distributeur en qui nous avons fait confiance et lequel a disparu avec l'argent. Il s'agit d'Apollinaire Katita que nous allons trainer en justice.

Beyou Ciel est une grande artiste qui fait de la musique de qualité incomparable. Elle mettra sur le marché le 09 mai 2014, son nouvel album « Bazua zero ». Un album succulent de 10 titres qui mettra tout le monde d'accord.

Un petit mot pour finir

Le King Kester m'a demandé personnellement de sortir son album « This is me ». Il voulait même que Beyou Ciel intervienne dans le volume de son album chrétien qu'il allait sortir.

Beyou Ciel a donné son accord. Ils ont répété la chanson à l'hôpital. Si tout se passe comme il l'a voulu, je sortirai donc « This is me » chez Pactole Productions. Une vidéo faite avec lui le prouve.

King Kester Emeneya s'est convertie avant sa mort. « This is me » était considéré comme son dernier album de la musique temporelle, et qu'il allait entamer une nouvelle vie en chantant de la musique chrétienne. Nous attendions la sortie de cet album pour annoncer cette conversion.


King Kester Emeneya a demandé pardon à toutes les personnes qui se sont senties offensées par lui. Il a dit aussi avoir pardonné toutes les personnes qui lui ont fait du mal.

Par respect pour la mémoire du King. J'attends les 40 jours.  Je ferais une mise au point en disant la vérité et rien que la vérité sur tous les évènements que nous vivons depuis la mort du King.

Car, à  part Luxene Musengi et l'Abbé Léon Katshoko qui ont dit la vraie vérité, vous n'avez lu et entendu  que de fausses déclarations, chez les journalistes et les soi-disant Amis ou proches de King Kester. Certains ont simplement été induits en erreur par des personnes méchantes et mal intentionnées, animées d'un esprit de haine.

Boni Tsala Thamba/MMC
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#Posté le lundi 17 mars 2014 15:49

Presse muselée, syndicaliste enlevé...

 Il ne fait pas bon faire résonner un autre son de choche au Congo que celui de la presse accrédirée au palais de la présidence de la République. Le Conseil Supérieur de Liberté et de la Communication (sic) la bien nommée veille au respect de l'orthodoxie monopartiste et pécétiste.
A lire ci-dessous le dernier communiqué de l'Office congolais des droits de l'Homme (OCDH) sur la presse muselée dans le pays.
(...) L'observatoire congolais des droits de l'Homme (OCDH) est vivement préoccupé par la délibération du Conseil Supérieur de Liberté et de la Communication (CSLC) du 1er juin 2013 qui vient allonger la liste des journaux suspendus de parution au Congo, pour une durée extrêmement longue sans motif valable.
En effet, la délibération n°006-2013 / CSLC-CM a statué sur la suspension de parution pour une durée de quatre (4) mois des journaux « Thalassa », « L'Observateur » et « le Trottoir ». Dans la dite délibération, la commission d'audition reproche aux journaux :
- « Thalassa » d'avoir publié l'article « Après la lettre de LEKOUNDZOU, des révélations de sang sur SASSOU seraient faites par DABIRA » dans son édition n°402 du 30 avril 2013 ;
- « L'Observateur » d'avoir publié l'article « Stratégies de conservation du pouvoir : les documents qui prouvent que le régime actuel ne laissera jamais le pouvoir après 2016 » dans son édition n°515 du 3 mai 2013 (...)
Enlèvement d'un syndicaliste au Congo
C'est alors qu'il dormait paisiblement chez lui que M. Dominique NTSIENKOULOU, syndicaliste, a été enlevé nuitament par des barbouzes à la solde du pouvoir...
A lire la note de position de l'OCDH
 (...) Brazzaville, le 5 juin 2013. L'Observatoire congolais des droits de l'Homme manifeste sa vive préoccupation suite à l'enlèvement d'un membre du bureau exécutif de la Concertation pour la Revalorisation de la Profession d'Enseignant (CRPE).
En effet, le 4 juin à 5 heures du matin, M. Dominique NTSIENKOULOU a été surpris dans son sommeil par les agents de la Direction départementale de la surveillance du territoire (DDST). Sans qu'il lui soit signifié les motifs de son arrestation, il a été conduit aux locaux de la DDST. Depuis, sa famille et ses proches peinent à le rencontrer, et sont dans l'impossibilité de déterminer sa situation (...)
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#Posté le jeudi 13 juin 2013 11:25

Sassou dynamite le Mcddi

 
Au Congo-Brazzaville, l'imagination politico-machiavélique est au pouvoir. Dans ce domaine d'excellence du PCT hissé en mode de gestion du microcosme politique, le dernier coup de génie revient indiscutablement à Denis Sassou Nguesso. Il détient la palme d'or de la manipulation et des intrigues politiques au Congo-Brazzaville. « Je t'haime , donc tu me suis  » semble la devise de l'actuel maître du Congo.
Fervent artisan du hold-up du MCDDI par Guy Parfait Kolelas et Hellot Mampouya après la mort du fondateur du parti Bernard Kolelas, voilà que Sassou Nguesso assène le coup de l'âne (de grâce), dans le genre « je t'assomme pour te sauver ». Résultat : voilà deux partis jumeaux aux contours politiques flous au sein du MCDDI tandis que les militants, chiens perdus sans collier, ne savent plus à quel saint se vouer. Sassou Nguesso est un orfèvre dans l'art de créer des intrigues et de tirer les ficelles sans oublier de jeter des os en pâture à une meute de chiens affamés. Et, quand il s'agit de payer, le budget du Congo-Brazzaville est fait pour cela. Il est suffisamment doté d'espèces sonnantes et trébuchantes pour corrompre ceux qui osent encore lever la tête. Plus de 4 000 milliards de francs CFA pour l'exercice 2012 –2013 : un vrai pactole. « Venez, j'ai des fruits d'or !  » : une vraie manne financière qui, comme le miel, attire les abeilles et les mouches.
MCDDI éclaté
L'unité du MCDDI observée depuis le décès de Bernard Kolelas a volé en éclats. L'époque où le fils biologique et le fils spirituel cheminaient « bras dessus bras dessous » est révolue. Place à la guérilla politique pour le contrôle du parti du « Nkumbi de Total ». Place aussi à la bataille de la gestion des finances venues droit du palais de Mpila. Aujourd'hui, entre le fils biologique et le fils spirituel c'est « pousse toi là que je m'y mette » ou « va voir ailleurs si j'y suis  » afin d'être bien vu par Sassou Nguesso, le maître de cérémonie, maître corbeau tenant en son bec le fromage. Il n'est pas besoin d'être grand clerc ou militant du MCDDI pour se sentir un peu troublé devant une telle déconnexion entre la sphère politique réelle (la société congolaise) et la sphère politicienne (les milieux politiques) ; pas besoin d'être savant pour relever le contraste entre l'euphorie ambiante affichée par Guy Parfait Kolelas et Hellot Mampouya lestés de leurs partisans( dont le nombre, soit dit en passant, est sans commune mesure avec les foules que drainaient, naguère, Bernard Kolelas au centre sportif de Makélékélé) et la déprime socio-économique des populations du Congo-Brazzaville .
L'image choquante est celle affichée par ces leaders politiques qui rient et ces chômeurs, étudiants et travailleurs qui pleurent. Ni Guy Parfait Kolelas, ni Hellot Mantsion Mampouya, alléchés par l'odeur du fromage de Mpila, n'ont abordé lors de leurs meetings, à Pointe-Noire pour l'un et à Brazzaville pour l'autre, les questions de la tenue des Etats généraux, de la modification de la Constitution, de la grève des enseignants et du paiement de la bourse des étudiants plutôt gratifiés par des grenades du policier de service, Jean-François Ndenguet. Des questions soigneusement éludées par les deux frères siamois du MCDDI, histoire de ne pas susciter le courroux de Sassou Nguesso, du PCT et des agents du « chemin d'avenir » par crainte de se couper de la main nourricière.
Patrick Eric Mampouya
Le turbulent et tonitruant Patrick Eric Mampouya qui s'était avisé de traiter Sassou Nguesso de l'homme du passé a été évincé de la dynamique en direct sur le site de zenga-mambu.com par Kikalakanza Massamba sur ordre de Mpila. Hellot Mantsion Mampouya et Hervé Mahika Mounkala sont muets comme une carpe sur ce point précis et sur bien d'autres qui distingueraient politiquement les deux partis siamois.
A la vérité, entre ces deux partis, c'est bonnet blanc, blanc bonnet car « Semba mbua, semba dimbu » proverbe kongo, expression des torts partagés. Guy Parfait Kolélas et Hellot Mampouya n'ont-il pas joint leurs voix à la chorale du PCT pour défendre Sassou dans l'affaire des biens mal acquis et fustigé la justice française ? Entre les deux acteurs, c'est blanc bonnet, bonnet blanc. D'ailleurs Hellot Mantsion Mampouya n'a-t-il pas affirmé qu'à la veille de sa mort Bernard Kolélas lui aurait confié que le patriarche était rassuré de savoir qu'il les laissait entre de bonnes mains, celles de Sassou ? (mwinda.org, 21 Mai 2013). Guy Parfait Kolelas aurait-il le courage politique, aujourd'hui, de contredire Hellot Mantsion Mampouya, son frère de lait ? Osera-t-il affirmer : « Nous l'avons dit, je me dédis » ?
L'union fait la force, c'est connu. Force est de reconnaître qu'au MCDDI, la division fait la farce. Et, c'est la force de Sassou Nguesso, le PCT et les agents du « Chemin d'avenir » qui doivent se pourlécher les babines, ricaner sous cape. Qui s'est fendu d'une mise au point pour affirmer que Sassou Nguesso n'a pas intérêt à l'affaiblissement du MCDDI et que la dynamique n'était qu'un mouvement au sein du MCDDI. ? Hervé Mahika, porte-parole de la Dynamique républicaine pour la démocratie (DRD) ! Vous avez trouvé.
 
congopage.com
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#Posté le samedi 25 mai 2013 04:20

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