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*Unité-Travail-Progrès*

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congo-story

Description :

[c=#111111]LA CONGOLAISE


En ce jour le soleil se lève
Et notre Congo resplendit
Une longue nuit s'achève,
Un grand bonheur a surgi.
Chantons tous avec ivresse
Le chant de la liberté.

Refrain

Congolais, debout
Fièrement, partout
Proclamons l'union
de notre nation.
Oublions ce qui nous divise,
Soyons plus unis que jamais.
Vivons pour notre devise :
Unité, Travail, Progrès.
Des forêts jusqu'à la savane,
Des savanes jusqu'à la mer,
Un seul peuple, une seule âme,
Un seul coeur ardent et fier,
Luttons tous, tant que nous sommes
Pour notre vieux continent noir.

Refrain

Et s'il nous faut mourir, en somme
Qu'importe puisque nos enfants
Partout, pourront dire comme
On triomphe en combattant
Et dans le moindre village
Chantent sous nos trois couleurs.

Refrain [/c]

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Grève des enseignants au Congo-Brazzaville

 
Au Congo, la grève générale des enseignants perdure. Elle paralyse l'ensemble des écoles publiques, voire des écoles privées soumises à ses assauts répétés des élèves du public qui réclament leur solidarité. Ainsi sont à l'arrêt, toutes les écoles de la ville de Brazzaville nord et sud, voire de l'intérieur du pays ou le mouvement s'étend à une vitesse « V ».
La gestion de cette grève échappe aux syndicalistes qui ont depuis longtemps perdu la confiance des enseignants (des travailleurs congolais). Les ténors des centrales syndicales ayant été cooptés par le pouvoir de Brazzaville qui leur verse des prébendes juteux pour inhiber toute velléité de grève sociale. Ils ont cette fois été disqualifiés par une base qui désormais décide de tout en assemblée générale. Or, quand on sait que les travailleurs de l'enseignement ont longtemps été abusés par un pouvoir (on ne peut plus) corrompu et corrupteur, la crise de confiance est dorénavant parfaite.
 
Il se passe quoi précisément ? Le très respectable Président SASSOU NGUESSO a à l'occasion de sa dernière adresse à la nation a pompeusement et de façon responsable annoncé une série de mesures sociales alléchantes, à savoir :
1. Adoption d'une nouvelle grille salariale “particulièrement avantageuse“ (le président dixit) pour l'ensemble travailleurs congolais ;
2. Relèvement du SMIC à hauteur de 70 000 francs CFA,
3. Proclamation de l'an 2013 comme étant l'année de l'Education
4. Signature du statut particulier du personnel de santé (un des deux services sociaux des cadres de la fonction publiques congolaise), avec relèvement du point d'indice à 300 (le point d'indice général étant de 200), le tout avec effet financier à la fin du mois qui a suivi cette déclaration.
Remarquez qu'il a royalement oublié que c'est l'année de l'éducation et de ses travailleurs ? c'est ce manque de cohérence d'idées et d'actions qui est déclencheur de trouble sociaux et ce n'est pas drôle du tout.
La situation ainsi créer est telle qu'un agent moyen des cadres des services sociaux (santé) est beaucoup mieux rémunéré qu'un agent de la catégorie I, échelle, 1, (plafond des catégories de l'ancienne grille salariale) payé suivant le point d'indice 200.
A ce niveau de responsabilité, on ne peut se permettre de créer une telle discrimination par inadvertance sans se soucier de la réaction fulgurante (même au prix de leur vie comme en Tunisie) des laissés pour compte, quand bien même l'on se sent fort d'avoir conforté son système répressif.
Aujourd'hui, les enseignants réclament la réparation d'une injustice sociale flagrante par :
- le relèvement du point d'indice à 300 pour l'ensemble des cadres des services sociaux (enseignement, santé et affaires sociales, journalisme) ;
- le paiement des rappels de fonctionnement aux ex-appelés volontaires qui ont servi durant avant d'être recrutés dans la fonction publique ;
- la signature du statut particulier des enseignants codifiant l'ensemble des avantages sociaux dus à leur corporation, lequel statut particulier constitue une des conditionnalités pour l'accession au cadre « Hors classe ».
Tout cela est du domaine du possible quand on se souvient de la dernière flagornerie du très puissant ministre des finances «Le Sieur ODONGO très fâché » qui s'est extasié en ces termes en direct sur les médias : ” le Congo dispose de moyens financiers importants”. Dis par l'un des principaux gérants de la manne pétrolière et du bois congolais, on n'a plus besoin qu'on nous fasse un dessin.
La grève des enseignats perdure, le pouvoir brille par l'indifférence.
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#Posté le vendredi 22 mars 2013 13:18

4 mars 2012 - 4mars 2013, un an après

 


4 mars 2012 - 4mars 2013, un an après
 Après les terribles explosions du 4 mars 2012, un enfer tel que certains Congolais avaient cru à la fin du monde, que reste-il ?
Des quartiers entiers dévastés sur lesquels se sont déversé des «  milliers de munitions, d'obus et de mines qui n'ont pas explosé », surveillés par des militaires et des agents en civil.
« Un an après l'explosion, rien n'a été reconstruit ou presque. Les populations attendent le début des chantiers promis par les autorités. Le gouvernement a distribué une aide d'urgence d'environ 4 600 ¤ aux familles touchées : « Nous n'avons pas abandonné ces familles, même si je dois admettre que nous avons manqué de vigilance dans la distribution de cette aide : de nombreuses personnes se sont fait passer pour des victimes. Nous allons bientôt lancer le chantier de reconstruction. Plusieurs entreprises étrangères sont pressenties, en particulier, chinoises », confie un conseiller du président Sassou-Nguesso », témoigne dans un article le journal catholique français « La Croix ».
Coté bilan humain, le gouvernement a comptabilisé 300 morts et 2 300 blessés, dont certains ont dû être amputés, des chiffres largement en deçà de la réalité, estime, unanime, la rue congolaise.
Du côté des traumatismes, impossible d'évaluer le choc. « Les symptômes sont comportementaux (hyperactivité, repli sur soi, isolement, instabilité, agressivité...), émotionnels (tristesse, anorexie, cauchemars, hypervigilance...), psychosomatiques (gastralgies, nausées, vomissements, amaigrissements, énurésie, céphalées...) », sont aujourd'hui le lot quotidien de nombre de nos compatriotes, témoigne-on.
« Ce qui reste encore, et ce qui restera longtemps, c'est le choc psychologique », déplore Émilienne Raoul, ministre des affaires sociales, qui souligne qu'une équipe de « conseil post-traumatique » a suivi en tout au moins 11 000 victimes. Le Fonds de l'ONU pour l'enfance (Unicef), qui, entre autres, collabore avec cette équipe, a recensé 3 125 enfants - 1 514 garçons et 1 611 filles - ayant bénéficié d'une prise en charge », peut-on encore lire dans le journal catholique.
Du côté du pouvoir congolais, on semble être depuis longtemps passé à autre chose. Comme d'habitude. On expédiera prochainement le « procès » des prétendus coupables de cette tragédie, boucs émissaires commodes, puis on s'occupera de choses plus sérieuses. Par exemple la reconduction du grand timonier, par la modification de la Constitution, pour un énième mandat à la présidence de la République.
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#Posté le jeudi 07 mars 2013 12:16

JEAN DOMINIQUE OKEMBA, UNE CHUTE DE CONFIANCE QUI S'ACCENTUE

 
 Depuis le drame du 4 mars 2012, Sassou a mis sous surveillance celui qui surveille le pays parce qu'il a failli : si la villa Cristal de monsieur Denis Sassou Nguesso s'était trouvé un peu plus près de l'épicentre de l'explosion du 4 mars 2012, le souffle du fleuve diabolique aurait vitrifié la chair de celui qui se prétend né pour toujours commander encore et encore. Certes, Sassou n'arrête pas d'échouer mais il ne supporte pas l'échec de ceux dont il a le plus confiance pour lui assurer le sommeil tranquille. En politique, la confiance se donne enrobée de méfiance et il est normal que lorsqu'elle disparaît, il ne reste plus que la méfiance. Il l'a dit, c'est un serpent, un reptilien : il a le coeur chaud et l'esprit froid, très froid comme tout grand calculateur. Or, le grand froid brûle ! Attention ! Ceux qui sont si proches de lui savent qu'en réalité ils servent la mort qu'il peut subtilement distiller comme le venin du cobra royal...
Jean Dominique Okemba perd de plus en plus de son pouvoir sur le grand éléphant dont il était les lèvres qui murmuraient à l'oreille du monstre. Et tout comme Lucifer, il se voyait déjà Seigneur à la place du Calife. Celui que Sassou ne peut toucher pour ne pas froisser le clan n'a plus la toute confiance de l'homme qui le mettait avant au parfum de tout. Le conseiller mystique, l'homme de tous les coups bas et de toutes les basses oeuvres est sur écoutes et sous filature. On l'épie, on épie les siens, on marginalise ses amis. Cet homme qui prenait souvent des décisions sans en référer au gangster en chef est démasqué pour excès d'ambition.
En remettant en scène Pierre OBA dont Jean Dominique Okemba avait pris la place par traîtrise - alors qu'il était le plus fidèle d'entre les fidèles, le vrai numéro deux du régime, Sassou fait un pas en arrière. Jean Dominique Okemba est dangereux parce que trop ambitieux et cela Sassou le sait. Le "spécial" est spécialement cerné par le doute. Car c'est un couteau qui risque un jour de blesser la main qui le nourrit.
Oui, on peut servir une ambition en servant la sienne propre : en dictature, on ne parvient au sommet qu'en marquant le chef suprême à la culotte, si besoin en lui lèchant les bottes ou le postérieur mais si l'occasion se présente, rien n'empêche qu'on bande le premier pour entuber celui qui vous a créé. On peut faire une créature politique de toutes pièces sur la base du vent mais on ne peut défaire une ambition qui veut succéder à une autre ambition. Qu'on se souvienne de ce que disait le commandant Marien Ngouabi : "Un homme qui n'est rien, quand on l'élève très haut, il devient très dangereux". Il l'a subi à ses dépens, la vérité s'étant confirmée sur son sang versé par un golem qu'il avait lui même créé et qui est assis aujourd'hui à sa place comme une vérité écrite en lettres de sang parce que l'ambition le veut.
 
[c=invert]CONGO-B
[c=invert]JDO, sécurocrate en pente (très) douce
Même s'il reste l'inamovible patron du Conseil national de sécurité (CNS), Jean-Dominique Okemba "JDO" est de moins en moins consulté sur les questions stratégiques. [c=invert]Sur les dossiers de sûreté, Denis Sassou Nguesso s'appuie désormais en priorité sur 
Léonard Noël Essongo[c=invert], dit "Yâ Nono", qu'il a nommé en janvier conseiller spécial[c=invert] chargé de la défense et [c=invert]de la sécurité. [c=invert] Cette promotion a réduit d'autant l'influence de Jean-Dominique Okemba[c=invert]"JDO" [c=invert]au sein du premier cercle du chef de l'Etat. [c=invert]Ancien commandant de l'armée de terre du Congo-B, le général [c=invert]Essongo[c=invert] a notamment été préféré à "JDO" pour suivre le dossier centrafricain[c=invert].[c=invert] [c=invert]Sassou [c=invert]a [c=invert]également recouru à son ministre de l'équipement et des travaux publics, Emile Ouosso[c=invert], [c=invert]pour veiller au renforcement des liens maçonniques avec François Bozizé[c=invert]. Ce rôle était autrefois dévolu à Okemba, en tant qu'adjoint du président congolais[c=invert], grand maître de la Grande Loge du Congo (GLC). Alors qu'il se targue [c=invert]toujours de son rôle de "conseiller mystique" auprès du chef de l'Etat, "JDO" reste par ailleurs contesté par la famille présidentielle[c=invert], à commencer par Denis Christel[c=invert] [c=invert]Sassou.  [c=invert]Une défiance que les explosions du 4 mars 2012 au camp des[c=invert] blindés de Mpila[c=invert] ont accentuée. [c=invert]Depuis ce drame, les proches d'Okemba, lui-même auditionné par son "ennemi", le général de police Pierre Oba[c=invert], actuel ministre des mines et patron de la commission[c=invert] d'enquête sur cet événement,[c=invert] sont marginalisés dans l'appareil sécuritaire congolais. C[c=invert]'est le cas[c=invert] du DG de la police, Jean[c=invert]-François Ndenguet[c=invert]. Ce dernier est désormais marqué à la culotte par son adjoint, Albert Ngoto. Enfin, depuis que Nicolas[c=invert] [c=invert]Sarkozy[c=invert] a quitté l'Elysée, [c=invert]Okemba[c=invert] a perdu ses précieux[c=invert] [c=invert]soutiens et relais en France, dont ceux de l'ex-ministre de l'intérieur,[c=invert] Claude Gueant.
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#Posté le jeudi 07 mars 2013 12:05

Le Congo classé 183e dans le classement Doing Business

La République du Congo est classé 183e sur 185 pays par le classement Doing Business 2013, un rapprot de la Banque mondiale et de la Société financière internationale (SFI), dans la réglementation des affaires, a-t-on appris mercredi auprès de la représentation de la Banque mondiale à Brazzaville.

Selon le rapport, le Congo a initié quelques réformes pour améliorer son classement dans Doing Business, notamment en réduisant le coût d'obtention du permis de construire ainsi que le coût d'enregistrement d'un nouveau bâtiment auprès du registre foncier."Le pays a également facilité la création d'entreprise en éliminant ou en réduisant les différents coûts associés à l' enregistrement d'une nouvelle entreprise", soutient la Banque mondiale, qui estime que le Congo doit fournir beaucoup d'efforts afin d'améliorer le climat des affaires.Intitulé "Des réglementations intelligentes pour les petites et moyennes entreprises", le rapport Doing Business 2013 relève par ailleurs qu'entre juin 2011 et juin 2012, 28 des 46 gouvernements d'Afrique sub-saharienne ont entrepris au moins une réforme pour améliorer l'environnement des affaires, ce qui représente un total de 44 réformes, tandis que 17 des 50 économies qui ont le plus amélioré leurs réglementations des affaires applicables aux entreprises locales depuis 2005 se trouvent en Afrique sub- saharienne.

Malgré ces avancées, beaucoup reste à faire pour permettre aux économies africaines de bâtir un secteur privé robuste et compétitif, souligne le même rapport.Le classement moyen dans la région en matière de facilité de faire des affaires est de 140 sur 185. L'Ile Maurice et l'Afrique du Sud sont les seules économies africaines figurant parmi les 40 premières à l'échelle mondiale.Lancé en 2003, Doing Business est un projet de la Banque Mondiale et de la SFI, qui analyse les réglementations ayant une incidence sur le cycle de vie des petites et moyennes entreprises locales: de leur création, en passant par leur exploitation, leur commerce transfrontalier, leurs taxes et impôts, jusqu'à leur fermeture.
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#Posté le vendredi 18 janvier 2013 11:20

Les inondations au sud de Brazzaville ce 10/12/2012 ont fait 13 morts ce week-end, selon la Croix-Rouge

 
Au moins treize personnes ont trouvé la mort et 26 ont été blessées dans l'effondrement de leurs maisons provoqué par des pluies diluviennes qui se sont abattues ce week-end dans la partie sud de Brazzaville, a-t-on appris lundi auprès des secours et de source officielle.
La mairie a d'abord récupéré neuf corps, puis quatre autres ont été retrouvés par la Croix-Rouge, a-t-on appris auprès de cet organisme qui assure les secours. « Les blessés sont au nombre de 26 pour l'heure », a déclaré à la presse Laurel Kihounzou, maire de Makélékélé, le premier arrondissement de Brazzaville.
L'information a été confirmée par la direction de l'action humanitaire du ministère des Affaires sociales et par la gendarmerie qui dit avoir logé près de 600 sinistrés dans son camp de Bifouiti, toujours dans le sud de la ville.
Des personnes se sont noyées, d'autres ont été blessées et plusieurs dizaines de maisons se sont effondrées après qu'une rivière traversant plusieurs quartiers de Makélékélé est sortie de son lit, selon des témoins.
« Les eaux de la rivière Mfilou sont montées jusqu'à une certaine hauteur. Dans notre bloc, aucune maison n'a résisté. Les dégâts matériels sont importants. Il y a des gens portés disparus », a dit à l'AFP un habitant du quartier, Sosthène Boukanzi, 36 ans.
« J'ai perdu toute ma porcherie. J'avais un cheptel de 26 têtes et je me retrouve désormais avec six bêtes seulement », a-t-il ajouté, des larmes dans la voix.
Le gouvernement a annoncé qu'il allait loger plusieurs sinistrés dans un cercle culturel, en partie couvert, situé à Bacongo, dans le deuxième arrondissement de la ville.
Depuis la mi-octobre, c'est la saison des pluies au Congo, et les eaux, souvent mal canalisées, érodent les fondations, inondent les habitations et ensablent les canalisations.
Source: AFP
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#Posté le vendredi 14 décembre 2012 11:27

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